NATURE DE L'OEUVRE :

Né en 1968, d'origine écossaise, Sandison crée un nouveau langage issu d'un jeu de ::décomposition::recomposition:: d'écritures de cellules numériques, mâles et femelles.

Ce jeu mixte représente le mécanisme fondamental du principe de vie, de la biologie : les rencontres, les connections, les aléas et les dilemmes en tant que phénomènes quotidiens de la nature humaine en quête d'Absolu.

La décomposition laisse place à une restructuration salvatrice des éléments, car, de la destruction renait un langage restructuré amélioré, plus adapté et très harmonieux de l'œuvre, donc du monde.

L'artiste parvient à créer un lien entre le visible et l'invisible.

Il conçoit la ::PERTE:: comme une possibilité d'::OUVERTURE:: vers des degrés supérieurs de conscience, de sagesse, et de connaissance scientifique et spirituelle.

::Pour savoir créer, il faut d'abord savoir détruire:: - Pablo Picasso

Le message de Charles Sandison nous démontre de toute évidence que ::la réalité est malléable::

Ainsi, l'œuvre et le monde nous offrent de multiples possibilités d'avancer vers des choix, des transformations et des métamorphoses plus positives de nos états, pour atteindre des degrés supérieurs du champ de conscience et comprendre l'issue des mécaniques universelles fondamentales.

Seven, Sept 2010.






The River by Charles Sandison from Anne-Cécile Sanchez on Vimeo.



On avait découvert le travail de l'artiste Charles Sandison en 2008, en surimpression de la façade du Grand Palais pour la manifestation "Dans la nuit, des images". On l'a revu récemment à la galerie Yvon Lambert, notamment à travers une fascinante projection "Writting with light". À partir du 9 mars, son oeuvre vidéo The River, une commande du musée du Quai Branly, accompagne les visiteurs le long de la rampe d'accès au plateau des collections. Cette métaphore animée enchante par sa fluidité graphique et sa richesse polysémique. Lire la suite sur pariscitymag.com